Ces photographies évoquent le phénomène d’accumulation de la chaleur urbaine et la prise en considération des changements climatiques dans l’urbanisme. Elle donnent à voir les formes architecturales et les modes d’appropriation de ses habitants à différentes échelles.
Les images prêtent aux murs pleins une apparence perméables, et c’est l’air, le vide habituel de l’image, qui semble atteindre les murs. Elles font apparaitre une relation intérieur/extérieur pour se questionner sur l’habitabilité induite par les changements climatiques.